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anne catherine a écrit, le 28/09/2010 à 14H57 :
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Bonjour Benjamin
En ce jour ,trés special, ou tu as decouvert la Vie ,je ne peux que te redire que nous pensons à toi et avons toujours les souvenirs de tes anniveraisres,ou nous pouvions rire ensembles!Maintenant ,ta vie est loin de nous et dans un monde que nous ne connaissons pas Mais tu sais que la famille Gaudry est proche de tes parents et tes soeurs pour vivre à travers toi ,aux Jaisous ,des images que tu as pu nous offrir,avec ton sourire coquin et regard malicieux
Nous ne t'oublions pas Benjamin
Big big love Big kisses from your friend anne catherine
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cécile a écrit, le 13/09/2010 à 06H53 :
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ce 12/09...si important, pour vous ! ce jour où je pense 'encore un peu plus' que les autres jours à vous, vous tous ...
ce texte de w. Blake, nous l'avons lu à la cérémonie de notre Benjamin...
moi, cet été, j'ai gravé ce beau prénom sur une roche que j'ai déposée face au Mont Blanc, très haut...si haut...comme si, de là-haut, il allait pouvoir lire son prénom qui trône à 3 100 m !!!!!!!!!!!!
les couleurs de l'arc en ciel de Benjamin, mon Amie, illuminent les jolis textes que vous écrivez !
toute mon amitié
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Béa Sarazin a écrit, le 12/09/2010 à 18H23 :
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Benjamin,
C'est le jour... le jour de te dire que nous ne t'oublions pas. J'ai trouvé ce poème que mon grand-père paternel, poète à ses heures, avait écrit pour sa soeur partie à 17 ans. Aujourd'hui, il est pour toi. Il est très court et dit que vous restez présents. De la haut, tu es avec nous. Je t'embrasse.
“Destin
N'avoir vécu que pour souffrir
Avoir souffert pour mieux aimé
Avoir aimé pour mieux mourir
N'avoir vécu que dix-sept ans
Mais demeurer cette ombre blanche
Qui ne pouvait nous laisser seuls
Et nous fait signe au fond du temps."
Jean-François Bassères à Marie-Louise.
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maman a écrit, le 12/09/2010 à 10H19 :
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BENJAMIN
Mon enfant lumineux
Les années ont passé
SANS TOI
Le monde
A mon grand désespoir
A continué
SANS TOI
les couchers de soleil
Les aubes annonciatrices d'un nouveau jour
Le vol des oiseaux migrateurs
Le violet des lavandes
le rouge éclatant du flamboyant
La fluorescence nocturnes des dunes du Cap Ferret
Les mers turquoises
les oasis du désert
les montagnes de l'Himalaya
Ont eu l'audace de te survivre
Et je l'ai eu aussi
T'emportant dans mon coeur
A chacun de mes voyages
Pour écrire TON prénom
Sur des plages lointaines
Et que le monde sache
Que TU as existé
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maman a écrit, le 28/07/2010 à 18H51 :
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Mon Benjamin,l'été est là avec le retour des hirondelles qui volent au dessus de la maison et le chant des cigales qui rythme nos journées.
TOI qui aimait tant la beauté du monde ton regard manque pour nous révéler sa beautéau travers de ton ton regard si sensible .
N'ayant aujourd'hui rien d'autre à t'offrir que des poèmes ,je t'envoie celui ci pour te dire combien je t'aime
JE SUIS DEBOUT AU BORD DE LA PLAGE
Je suis debout au bord de la plage;
UN voilier passe dans la brise du matin et part vers l'ocean.
Il est la beauté,il est la vie.
Je le regardejusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon
Quelqu'un à côté de moi dit:"il est parti".
Parti vers où,parti de mon regard,c'est
tout.
Son mât est toujours aussi haut,sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,pas en lui.
Et juste au momentoù quelqu'un auprès de moi dit:"il est parti",
il y en a d'autres qui,le voyant pointer à l'horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie:"le voilà".
C'est ça la mort .
william blake
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cécile a écrit, le 31/03/2010 à 13H24 :
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un petit coucou et un grand câlin vers le ciel, pour cette journée particulière...
vous avez raison, nicole : on ne les trouve nulle part ailleurs que...Partout !
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maman a écrit, le 27/03/2010 à 22H18 :
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NULLE PART AILLEURS
Toi la présence dans l'absence
Toi la parole dans le silence
Je ne la trouve nulle part
Nulle part ailleurs...que partout
Tu es la saveur et le sens
De ce qui jamais ne finit
Dans les moments de soif intense
Tu m'a abreuvée d'infini
Mon bonheur d'être,ma source vive
Le beau poême de mes jours
Je te rejoins sur l'autre rive
Là où patiente ton amour
Je t'ai révé de part en part
Dans des instants de rien du tout
Je ne te trouve nulle part
Nulle part ailleurs..que partout
Tu donnes sens à mon existence
Je ne peux oublier ce jour
Où frolée d'un amour immense
Je l'ai senti là tout autour
Comme le doux murmure du vent
Fredonne une chanson du ciel
Rien ne sera plus comme avant
Je ne vis plus que d'essentiel
Mon bonheur d'être,ma source vive
Le baume à mes peines d'amour
Tu ensoleilles ce qui m'arrive
Autour de moi et au -dedans
Je t'ai révé de part en part
Dans des instants de rien du tout
Je ne te trouve nulle part
Nulle part ailleurs..que partout
Longtemps c'est vrai je t'ai cherché
Sans voir que tu étais toujours
Tout près de moi à peine caché
Dans les recoins de mon amour.
Toi la présence dans l'absence
Toi la parole dans le silence
Je ne te trouve nulle part
Nulle part ailleurs.. que partout.
Fabienne Marsaudon
Pour ta fête BENJAMIN avec tout mon AMOUR
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anne catherine a écrit, le 12/02/2010 à 09H03 :
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benjamin,
En ce beau matin,plein de neige sur grasse et peymeinade et ce rayon de soleil qui arrive ,j'avais envie de te dire ma tendre affection et tous les souvenirs qui me reviennent,tout ce que nous avons eu la chance de partager
je t'embrasse
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MAMAN a écrit, le 18/12/2009 à 15H49 :
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TU MANQUES
Y a des qualités de silence
Comme des étoffes ou le bois
Des profonds, des courts,des immenses
Des que l'on entend pas
Coule la pluie,cheveux et veste
Mouille ce qui ne pleure pas
Marcher le long de rues désertes
Où tu me manques pas à pas
Tu manques,si tu savais
Tu manques tant
Plus que je ne l'aurai supposé
Moi qui ne tiens pas même au vent
Prendre un taxi,tourner des pages
Féliciter,battre des mains
Faire et puis refaire ses bagages
Comment allez vous?à demain
On apprend tout de ses souffrances
Moi ,j'ai su deux choses,aprés toi:
Le pire est au bout de l'absence
Je suis plus vivant que je crois
TU MANQUES,si tu savais
Infiniment,tout doucement
Plus que je ne me manque jamais
Quand je me perds de temps en temps
Danger,dit-on,la lune est pleine
Est elle vide aussi parfois?
Invisible,à qui manquerait-elle?
Peut-être à d'autres,pas à moi
TU MANQUES, si tu savais
Tu manques drôlement
TU MANQUES
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maman a écrit, le 18/12/2009 à 15H36 :
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MON BENJAMIN
Je veux te parler de mon silence à ton sujet,
Silence de MORT d'une mère qui peut paraitre indigne
car incapable encore aujourd'hui d'évoquer ton prénom sans qu'une térrible douleur l'envahisse
Alors,impossible pour moi de te permettre d'exister encore un tout petit peu en évoquant ta mémoire!Je sais que tu ne m'en veux pas!
Bientôt HUIT NOELS sans toi,et te dire que tu me manques tant et t'offrir ce beau poëme
Ta maman qui t'aime tant
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